On l’attendait pour l’an 2000. Il n’a que 6 ans de retard mais il a frappé ce lundi 26 décembre ceux qui ont tenté de tenter leur chance, et sont retournés bredouilles mais riches de ne pas avoir dépensé les sommes promises à
Il n’y eut que 22500 terminaux muets refusant d’enregistrer les paris et de payer les numéros gagnants. C’est certainement la plus grande panne informatique du siècle débutant. C’est aussi la plus pénalisante.
Ce n’est pas que je sois un accroc des jeux, je ne me souviens pas avoir dépensé un sou au profit de l’un de ces pères Noël virtuels qui fait des millions d’adeptes, mais une journée perdue c’est une contribution de près de 10 millions d’euros qui ne sera pas rentrée dans les caisses de l’Etat. Je ne parle pas de chiffre d’affaires mais de ce qui va au fisc après dédommagement de tous les gagnants.
Un tel manque à gagner pour une petite panne ça mérite qu’on s’y intéresse. D’ici à ce qu’on réclame au programmeur le coût de son erreur, et il n’aura plus qu’à se refaire en jouant au Loto, au Keno, au Rapido… jusqu’à ce qu’un nouveau bogue ne l’empêche de tenter sa chance.