15 décembre 2008
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Rachida Dati, Michèle Alliot Marie et Rama Yade pour n’en citer que 3 tentent de ramer contre les effets d’une spirale descendante. Sans aucun succès.
En quelques mois ces stars de la politique sont passées du statut de diva à celui de quasi proscrite. Une fois poussées sur le devant de la scène elles ont été propulsées en haut de l’affiche.
C’est l ‘époque où tout sourit, tout semble permis. Toute intervention est jugée pertinente, toute décision prouve l’intelligence et l’audace de son auteur. Et même les bourdes sont mises au crédit de la fraîcheur.
Leur popularité - croyaient-elles - devait les protéger de toutes les chausses trappes. Jusqu’au jour où elles découvrent que la magie ne fonctionne plus, que les hésitations sont dues à la méconnaissance des dossiers et non plus à un sens politique affûté, que les bourdes sont devenues des gaffes et que les amis se défilent de peur d’être vus en leur compagnie.
La spirale ascendante qui les a propulsées et fait atteindre l’état provisoire d’apesanteur s’est inversée et les précipite dans l'abime d'impopularité dans un mouvement qui s’amplifie à chaque instant.
Rien n’y fait et les tentatives de freiner la chute ne font que prouver l’existence de cette dernière qu’elles accélerent.
Rachida Dati n’est plus en odeur de sainteté, Rama Yade l’a récemment rejoint dans cette catégorie des nouveaux mal aimés.
Seule solution : reprendre le contrôle de la situation en provoquant plutôt qu’en subissant l’issue inévitable de la séquence. C’est à dire chez les hommes (ou femmes) politiques en changeant de camp !
Dans cette deuxième vie vous aurez de nouveau le loisir d’emprunter la spirale ascendante et de vivre votre seconde descente aux enfers … Sisyphe en est passé par là.
En quelques mois ces stars de la politique sont passées du statut de diva à celui de quasi proscrite. Une fois poussées sur le devant de la scène elles ont été propulsées en haut de l’affiche.
C’est l ‘époque où tout sourit, tout semble permis. Toute intervention est jugée pertinente, toute décision prouve l’intelligence et l’audace de son auteur. Et même les bourdes sont mises au crédit de la fraîcheur.
Leur popularité - croyaient-elles - devait les protéger de toutes les chausses trappes. Jusqu’au jour où elles découvrent que la magie ne fonctionne plus, que les hésitations sont dues à la méconnaissance des dossiers et non plus à un sens politique affûté, que les bourdes sont devenues des gaffes et que les amis se défilent de peur d’être vus en leur compagnie.
La spirale ascendante qui les a propulsées et fait atteindre l’état provisoire d’apesanteur s’est inversée et les précipite dans l'abime d'impopularité dans un mouvement qui s’amplifie à chaque instant.
Rien n’y fait et les tentatives de freiner la chute ne font que prouver l’existence de cette dernière qu’elles accélerent.
Rachida Dati n’est plus en odeur de sainteté, Rama Yade l’a récemment rejoint dans cette catégorie des nouveaux mal aimés.
Seule solution : reprendre le contrôle de la situation en provoquant plutôt qu’en subissant l’issue inévitable de la séquence. C’est à dire chez les hommes (ou femmes) politiques en changeant de camp !
Dans cette deuxième vie vous aurez de nouveau le loisir d’emprunter la spirale ascendante et de vivre votre seconde descente aux enfers … Sisyphe en est passé par là.