Il a du regretter de s’être invité. Il ne doutait pas de sa maîtrise des médias, lui l’ex plus jeune premier ministre de
Il fallait oser le Rainbow Warrior pour déstabiliser un prétendant au trône de France. La journaliste l’a fait parce qu’il le valait bien. Fabius a blêmi sous l’outrage, tenté de reprendre la main, « non l’affaire du Rainbow Warrior n’est en rien comparable au scandale de Clearstream… On n’a pas le droit de tout mélanger » lâcha-t-il, visiblement offusqué.
Il avait enfin raison : ce sont deux affaires de barbouzes, mais à ce jour seules les victimes de Clearstream sont toujours vivantes…dommage qu’Audrey ait omis de le lui rappeler.