13 janvier 2009
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Nos journaux sont contrôlés par la toute puissante diaspora. Le Figaro et son ignominieux édito de ce jour discréditent la corporation des journalistes qui sans exception notable s’aligne sur la lecture talmudique des évènements du proche orient. Avec le soutien de Sarkozy, le nouvel idole des sionistes.
Combien faudra-t-il de cadavres palestiniens au sinistre signataire de l’éditorial de ce jour pour admettre que le massacre de la population gazaoui n’est pas de la "manipulation" (sic). A l’évidence le compte n’y est pas. Il n’y en aurait que 900, pas assez pour émouvoir le grand humaniste Thréard, puisqu’il signe sous ce nom. Il mériterait que son journal lui offre un aller simple à Gaza. Mais si les Dassault flights survolent Gaza c’est pour y larguer des bombes pas pour y parachuter les bonnes plumes du Figaro.
De Nice à saint Lazare, nos gares sont sous le diktat de la CGT. Un malheureux cheminot roué de coups et des centaines de milliers de transiliens privés de train. L’omniprésident avait annoncé mettre un terme aux exactions des preneurs d’otages. C’était une promesse de campagne, électorale celle là.
La CGT et la diaspora juive produisent les mêmes résultats. Se soumettre ou être éliminé. La France devra un jour décider de se libérer du joug de ces imprécateurs.
Pas de risque que Sarkozy se saisisse du kärcher, éspérons en Royal qui n'a pas connu le sécateur.
Combien faudra-t-il de cadavres palestiniens au sinistre signataire de l’éditorial de ce jour pour admettre que le massacre de la population gazaoui n’est pas de la "manipulation" (sic). A l’évidence le compte n’y est pas. Il n’y en aurait que 900, pas assez pour émouvoir le grand humaniste Thréard, puisqu’il signe sous ce nom. Il mériterait que son journal lui offre un aller simple à Gaza. Mais si les Dassault flights survolent Gaza c’est pour y larguer des bombes pas pour y parachuter les bonnes plumes du Figaro.
De Nice à saint Lazare, nos gares sont sous le diktat de la CGT. Un malheureux cheminot roué de coups et des centaines de milliers de transiliens privés de train. L’omniprésident avait annoncé mettre un terme aux exactions des preneurs d’otages. C’était une promesse de campagne, électorale celle là.
La CGT et la diaspora juive produisent les mêmes résultats. Se soumettre ou être éliminé. La France devra un jour décider de se libérer du joug de ces imprécateurs.
Pas de risque que Sarkozy se saisisse du kärcher, éspérons en Royal qui n'a pas connu le sécateur.
Michel COUDERT Candide