Il s’excuse, il regrette, il bat sa coulpe… est ce là la posture d’un candidat président ?
La dernière de Sarko est pitoyable. Ses regrets pour ses « petites phrases » sont une reculade en rase campagne électorale. Un politique qui ne s’assume pas n’est pas crédible devant les électeurs. Comment savoir si sa prochaine sortie ne donnera pas lieu à reniement si ceux qui se sentent offusqués haussent le ton pour obtenir le retrait des propos qu’ils jugent excessifs.
On ne trouve aucune justification à cette pantalonnade qui manifestement lui a été extorqué par les éléphants de son camp. C’est Canossa.
Debré envoie ses vœux à Ségolène, Villepin fait baisser le froc à Nicolas. C’est pour la droite le début de