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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 20:13

nuage.jpgKafka en aurait fait la trame d’un pamphlet sur les experts derrière les quels se cachent des politiques émasculés. Le GIEC et ses pseudo scientifiques ont du faire des petits qui noyautent toutes les instances du contrôle aérien. Un pet de volcan en Islande et la moitié de la chrétienté est paralysée, priée d’attendre que le "Nuage" veuille bien s’estomper.

 

Qu’à une certaine densité des particules puissent impacter la capacité des réacteurs à fonctionner se comprend aisément. Que cette densité décroisse comme le carré, si ce n’est le cube de l’éloignement du lieu de l’expulsion est tout aussi certain.

 

Que des précautions soient prises pour s’assurer de l’innocuité de ce nuage est aussi fondé. Mais 4 jours après l’irruption alors que les matières en suspension n’ont plus la même consistance, maintenir au sol les avions créent un chaos plus dangereux que le risque que l’on souhaitait contrôler. L’exemple de ces 80 cardiologues interdits d’activité parce qu’incapables de retourner sur les tables d’opération fournit l’illustration de ce paradoxe. La moitié de la cardiologie française est à Tel Aviv en congrès pour une durée indéterminée...

 

Les conclusions des experts apparaissent sous leur vraie dimension quand on apprend que les compagnies envoient des avions pour vérifier l’existence du fameux Nuage. Et surprise, surprise elles n’en trouvent pas trace.

 

C’était il y a quarante neuf ans - jour pour jour, les soviétiques expédiaient le premier homme dans l’espace.

« Avez vous vu Dieu » demandait-on à Youri Gagarine à son retour. « Non » assurait-il. « Dieu n’existe pas, sinon je l’aurai rencontré ! » 

 

Ni Dieu, ni Nuage : les avions vont pouvoir circuler sans danger !


 

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 20:20

Xynthia.jpg

Certaines évidences sautent aux yeux des gens de bon sens, mais semble échapper à nos gouvernants. Et si de bonnes raisons existent qui défient ce bon sens, bon sang, qu’attend-on pour les faire connaître.

Le nouveau drame, parce que détruire des maisons et virer leurs habitants ne peut être vécu que comme un drame, est le fruit d’une idéologie où le stupide le dispute à la technocratie.

Sait-on en France que dans un pays voisin c’est 30 % au moins de la population qui vit en dessous du niveau de la mer ? Sait-on en France que la probabilité pour que les 3 événements dont la survenue concomitante a causé le drame du mois dernier se reproduisent dans les mois à venir est inférieure à la chance de gagner le gros lot du Loto.

Alors pourquoi une telle précipitation, alors que le risque connu d’inondation avait été dénoncée sans susciter aucune réaction. Ne peut-on prendre le temps d’étudier des alternatives à la force brute que veulent imposer les autorités. Ajouter le drame au drame pour exorciser une menace dont Dame nature seule décidera de la mettre ou non à exécution ? Comme si le stupide principe de précaution était un rempart contre les aléas dont les hommes savent depuis la nuit des temps qu’ils seront toujours impuissants à les maîtriser

Aux Pays bas si on devait détruire tous les " La Faute sur mer" c’est le tiers du pays qui serait rasé ! Alors on reconstruit des digues, on les entretient et on les renforce, peu importe si elles vous empêchent de voir la mer, l’essentiel c’est d’éviter que cette mer là ne vous submerge.

Pour le coût de la destruction de 1500 maisons, combien de kilomètres de digues pourrait-on restaurer, rehausser ?  Encore faudrait-il en pas avoir déjà donné à quelques grands maçons le business de la reconstruction.

 

 

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 16:32

sarkozy-obama-difference.jpg

Ils ont tous gobé le coup du diner privé. Même les moins enclins à faire du cirage de pompes ont entonné le refrain de la p’tit bouffe entre copains qui se font une teuf pour effacer un petit froid.

Même qu’ils ont causé moules frites, hamburger et french fried, pendant que Michèle et Carla devisaient point de croix ! On va finir par croire que pour être journaliste accrédité à Washington il faut encore boire le lait au sein de sa mère. Inutile d’avoir roulé sa bosse, il faut surtout avaler tout ce que les « spin doctors », comme on dit chez les rosbifs, ont décidé de vous servir.

La vérité est qu’un président reçu à la maison blanche est en droit d’attendre un traitement de chef d’état. Un diner protocolaire avec les sommités du pays qui l’accueille, les présidents des chambres, les sénateurs importants, les directeurs de journaux et autres personnalités qui façonnent l’opinion publique auprès des indigènes.

Ce traitement de chef d’état n’a pas été réservé à Carla Bruni Sarkozy, le célèbre mannequin accompagnée de son dernier copain, un certain Sarkozy Nicolas, avocat et présentement locataire rue du faubourg st Honoré.

Le diner privé c’est une insulte au statut de chef d’état, c’est une entorse au protocole que le président de la république, Mr Sarkozy, aurait refusé, s’il avait eu le costard qui convient au job.

Mais voilà, il ne l’a pas et il était ravi de causer moules frites avec son pote Barak, qui lui a le sens de l’État et n’a pas souhaité s’afficher avec un nain.

Vous imaginez la Cène, pardon la scène  !


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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 15:23
longuet.jpgGérard n’est pas un novice, pas un naïf : il n’a plus rien à prouver, plus rien à espérer ! A son âge la témérité ne peut plus rien lui couter !

Gérard a exprimé ce que la majorité des français pense tout haut et ce que les hommes politiques de la majorité, quand ce ne sont pas des élus de l’opposition, approuve devant des micros fermés.

C’est bien là le problème, à force de taire des évidences, ces évidences deviennent blasphématoires quand elles sont prononcées es qualité de membre influent du personnel politique.

Frèche a connu le même sort, Charasse à moindre titre et aujourd’hui la meute s’en prend à Longuet.

L’existence d’un corps de français de souche, d’un noyau dur de la francité dont l’attractivité s’exerce sur des indigènes qui cherchent à les singer au point de souhaiter occuper les fonctions que jusqu’alors les premeirs se partageaient ne doit pas être révélée sous peine d’exclusion !

Halte à la discrimination. Le paradoxe n’aura pas échappé aux élus de l’UMP qui ont décidé de mettre les pieds dans le plat et le président face à ses contradictions.

Oui nous sommes les nouveaux discriminés. A nous de saisir la Halde et si de surcroit son président est un indigène fraichement assimilé on peut être assuré qu’il se fera un devoir de nous réintégrer.


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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 21:45
rafle.jpgLa rafle : c’est l’épisode fétide de notre histoire contemporaine. L’épisode qu’un président, auquel on ne pourra reprocher d’avoir cédé aux sirènes sionistes, a su flétrir après 50 ans d’un silence qui en devenait complice.

La rafle c’est un film qui bénéficiera du traitement médiatique que les causes sémites suscitent spontanément  dans ce pays au point de générer des phénomènes tout aussi spontanés pour contrecarrer les zélotes de la culpabilisation collective.

En dire plus serait s’exposer aux foudres de la justice et de sa loi scélérate sur la vérité que l’on doit aux juifs.

Il n’en reste pas moins une lancinante question quand on repasse le film des ces heures où l’autorité publique s’est avilie. Qu’elle aurait été ma réaction, celle de ma famille, ou plutôt qu’elle eut été l’attitude de mes parents, de mes grands parents si les circonstances les avaient fait l’un des 8000 acteurs de cette « opération » ?

Trop souvent ces reconstitutions transposent des faits avérés hors de leurs temps rendant inintelligibles les réactions des témoins de l’époque. Ainsi Pie 12 est-il flétri par ceux qui aujourd’hui ont revisité la responsabilité du peuple juif dans la mise à mort de Jésus. In illo tempore les juifs étaient encore déicides

Bouffait-on du juif en 1942, comme du curé en 1905 ? Se souvient-on des diatribes anti sémites que les journaux de l’époque publiaient à l’abri de toute loi Gayssot. Les consciences des braves gens avaient –t-elles étaient lavées de sorte que la bête immonde pouvait faire son œuvre sans réveiller ces consciences endormies. Rares sont les témoins impartiaux, les dépositaires de l’état de l’opinion a pouvoir encore s’exprimer en toute sérénité sur des faits d’une insoutenable cruauté.

Car la lancinante question reste d’une brutale actualité : des faits semblables se sont reproduits récemment à quelques kilomètres comme à des milliers de km et l’Etat français a été impliqué sans que personne n’ait bronché. Alors comment flétrir l'Etat français au Vel d’Hiv et le disculper  50 ans plus tard pour Srebrenica et le Rwanda ?


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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 21:48
soumare.jpg
Nul n’est parfait ! Nul n’est à l’abri d’une erreur, d’une faute. Est-on pour autant quitte parce qu’on a accompli sa peine, est-on rétabli dans l’entièreté de ses droits ?

Oui selon la formule qui précise que le délinquant qui a purgé sa peine a acquitté sa dette vis à vis de la société. Non, vis à vis de soi même et de son miroir qui garde indélébiles les marques de la faute.

L’affaire du candidat PS du val d’Oise ne peut être reléguée aux rayons des coups bas. Elle reflète l’exigence que la démocratie impose à ceux qui prétendent la servir. C’est une chose d’être quitte avec la Justice, cela est-il suffisant quand on se prétend porteur des idéaux pour servir ses concitoyens.

Présenter sa candidature en esquivant le fait que l’on a eu dans le passé des comptes à rendre à la justice, c’est mentir sur sa vie privée. Proposer sa candidature en reconnaissant qu’une vie antérieure a été entachée de faits et gestes condamnables, condamnés et purgés neutralise les réactions de ceux aux quels il deviendra facile de rappeler que "celui qui n’a jamais péché jette la première pierre".

Nul n’est à l’abri d’une sanction. Et nul ne peut ignorer qu’ayant été condamné il porte cette croix au delà du temps fixé pour la réparation. Prétendre le contraire c’est s’exposer à subir une double peine. Alors soit on reste à la maison, soit on prend les devants et on rend le cas échéant  coup pour coup.



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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 20:59
quick.jpgEn parler plutôt que n’en rien dire, c’est contredire ce qu’on va dire.  Alors très quick sur ce sujet qui n’a aucun intérêt sauf à montrer que sans média une telle affaire n’aurait jamais franchi les limites du canton.

Faire du halal à Roubaix, du casher dans le sentier, de la bouillabaisse autour du vieux port reste une décision prise en toute liberté par des gens qui veulent d’abord gagner de l’argent et accessoirement nourrir leur clients.

Que des politicards cherchent à se faire mousser pour glaner quelques voix en déformant cette information est probablement inévitable, c’est le coté glauque de la démocratie.

 Que des média, pour glaner quelque part de marché, fassent gober à leur lecteur que derrière cette anecdote se profile un phénomène de société, est le revers de la liberté d’expression.

Et pour terminer on préfère encore que ces excès aient pu avoir lieu plutôt que de subir un régime dans lequel aucune de ces dérives n’auraient pu être dénoncées. Faute d’exister.
 


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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 17:44
ml_penchard.jpgSorti ou pas de son contexte, discours électoraliste plutôt qu’allocution ministérielle, peu importe,  les propos rapportés sur l’utilisation de la manne publique en Guadeloupe sont abradacadabrantesques.

Parler de manne quand il est question de redistribuer le prélèvement effectué sur les contribuables mériterait un blâme. C’est banaliser la redistribution de l’argent collecté comme s’il était tombé du ciel.

La manne est par définition « providentielle » et ceux qui la distribuent sont en quelque sorte le prolongement de la main du Seigneur. Et mérite à ce titre adoration, courbettes et remerciements électoraux sous la forme du bulletin anonymement glissé dans l’urne. C’est le sens subliminal qu’il faut donner à cette évocation.

Le clientélisme c’est faire miroiter qu’un bon bulletin sera suivi non d’une contribution à l’intérêt général mais d’une allocation spécifique à ceux que l’on a ciblé. Or la ministre de la république ne peut servir que le premier.

Facile de faire un exemple quand on prône la rupture et la fin des privilèges que certains dans les DOM TOM n’ont pas manqué de faire fructifier pendant les années de chiraquie. La sous ministre au DOM TOM joue un rôle epsilonnesque sur l’échiquier politique et son départ signifierait la fin du népotisme qui cause tout autant de ravage que le clientélisme. L’argument selon lequel, tous en font autant ne peut qu’accélérer la nécessité de mettre un terme à cette appropriation de l’argent public par ceux qui en sont temporairement les dépositaires.

Personne ne regrettera Mme Penchard sauf sans doute quelques bons clients, pardon quelques fidèles électeurs. Mme Penchard est au bord des Abymes,  qu’elle fasse un pas en avant !


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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 21:17
Peut-on éclairer en 20 lignes le débat sur les retraites  ? 

Le point de vue ci dessous est une Infime contribution dont l'objet est de développer un argument qui, sauf à le contredire, peut éviter au débat de s’enliser dans d’inutiles polémiques.

Age légal et durée de cotisation sont deux paramètres indépendants que le législateur prévoit d’accroitre pour équilibrer l’équation des pensions à verser et des cotisations à percevoir dans la perspective de l’allongement de la durée de vie.

Ces deux chiffres sont devenus tabous, le nombre de trimestres de cotisation et l’âge légal, soit âge minimum pour bénéficier d’une retraite à taux plein. Ces paramètres sont imposés par la logique de la répartition et contingents pour les adeptes de la capitalisation. Dans ce dernier cas peu importe l’âge légal ou la durée de cotisation sur l’équilibre général puisqu’aucune obligation d’un % de reversement par rapport au dernier salaire perçu n’est contractuellement établie, la pension ne dépendant que de ses propres cotisations.

Dans le système de répartition-mutualisation que nous connaissons les membres du groupe sont solidaires. D’où la nécessité de rechercher l’équité, fondement de la solidarité. Très mal posé par le parti socialiste, voir le pas de clerc de Mme Aubry, le problème peut être résolu par appel au bon sens.

Pourquoi un salarié ayant commencé à travailler jeune devrait-il travailler un à deux ans de plus au seul titre de l’allongement de l’âge légal de la retraite alors qu’il a obtenu le nombre de trimestres nécessaire avant d’atteindre l’âge fatal ? Si on trouve normal qu’un diplômé entrant tardivement dans la vie active doive dépasser ce seuil pour obtenir ses droits à taux plein, la situation inverse doit aller de soi.

Sans entrer dans des polémiques stériles, fixer l’âge légal sans tenir compte de l’âge d’entrée dans la vie active conduit à un traitement inéquitable.  Solution : considérer seulement le nombre de trimestres de cotisation et ne plus imposer d’âge légal, sauf cas de pénibilité.

Faire sauter l’âge légal et augmenter comme la plupart des participants à cette discussion l’ont accepté le nombre de trimestres de cotisations n’est-il pas un premier pas vers un alignement des positions ? Bien d’autres problèmes resteront à régler, dont celui de la définition de la pénibilité, mais un pas aura été fait vers l’équité.


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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 22:14
gav-copie-1.jpg
Un film pour beaucoup, une polémique récurrente pour les habitués des plateaux télé et une expérience cuisante pour le signataire de ce billet. La rhétorique policière selon laquelle la garde à vue est une protection offerte au présumé délinquant n’est qu’une hypocrisie professée par les tenants du tout sécuritaire. Pour l’avoir entendue dans des circonstances nécessairement pénibles, cette dialectique est abjecte.

Alors apprendre que des gamines de 14 ans ont bénéficié de ce régime suscite une double interrogation.

1) La formation des personnels de police comporte-t-elle des lacunes telles que des violations flagrantes du plus élémentaire bon sens puissent être commises par tout un système? Une garde à vue implique l’accord tacite de plusieurs fonctionnaires et de quelques OPJ. Ce ne peut être une bavure individuelle. C’est nécessairement entérinée par la hiérarchie .

2) Mesure-t-on le traumatisme que les enfants mis en garde à vue vont subir  ? Puisque rien ne pourra l’effacer cela ne relève-t-il pas du sadisme si les faits incriminés ne sont que délictueux. S’ils sont monstrueux, ce qui est heureusement rarissime l’enfant relève alors de la psychiatrie.

Il n’est pas question de revendiquer un quelconque angélisme et les faits dont des enfants ont à rendre compte pourront être condamnés par des juridictions spécialisées. Mais la mise en garde à vue, insupportable pour tout un chacun car laissée à la seule appréciation de fonctionnaires de police toujours couverts par leur hiérarchie, devient odieuse quand elle est infligée à des enfants en négation de la formule célèbre :

habeas corpus ad subjiciendum et recipiendum !



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