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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 21:35

Nul doute que l’ère Colombani Minc est close. Ils avaient redonné au canard du boulevard des italiens le blason qu’une migration à Ivry avait manqué ternir définitivement. D’une feuille de chou tombée sous la férule d’un groupuscule gauchiste ils avaient fait un quotidien dont la fréquentation d’abord tolérée était recherchée par la bullocratie chère à JF Kahn.


monde.jpg Mais voici qu’une révolution de palais comme Le Monde en secrète tous les 10 ans a expédié ce binôme vers une retraite anticipée. La base s’est saisie du pouvoir et les vieilles lunes rouges éclairent à nouveau l’horizon idéologique du quotidien.


Preuve : ce galimatias de bons sentiments éructés dans un éditorial qui fleure bon le temps de la lutte des classes quand Sartre invectivait Aron. Mais Mr  Fottorino, le nouveau « patron », n’est ni écrivain talentueux, ni visionnaire. C’est un triste plumitif tortueux qui use de métaphores éculées pour transmettre sa haine de nos gouvernants.


Fustiger les élus parce que la loi votée sur le regroupement familial exclut de son application les enfants par adoption c’est manipuler l’opinion. C’est son droit de trouver cette loi inique, c’est son droit de s’en offusquer, mais rien ne l’oblige à insulter l’intelligence de ses lecteurs. Quelle famille séparée, quelle famille aux ressources limitées, quelle famille dont l’épouse est tenue au port du voile va adopter un enfant alors qu’elle est en déshérence.  Aucune. Utiliser le cas de l’adoption pour anathématiser les élus qui ont voté cette loi relève de la perversion du raisonnement. Car ces cas n’existent pas.


L’idéologie socialo-universaliste qui couvait comme une cendre mal éteinte au sein de la rédaction du "Monde" a refait surface ce soir dans ce fielleux édito.  Enfin la gauche a son vrai journal. Il ne lui manque plus qu’un chef. On va parier sur Besancenot !

 

 

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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 20:10

L’affaire est à son comble et peu importe l’enjeu du débat : les tests ADN pour établir un droit à bénéficier des dispositions visant au regroupement familial. Pas de doute que ce sujet relève d’une décision du législateur, d’autant plus que le président n’avait pas caché sa volonté de contrôler le flux migratoire.


Les députés après discussions, navettes entre les assemblées, ont entériné un projet de loi avec une dose de test ADN. Peu importe qu’il convienne ou pas au rédacteur de ce blog. Ainsi en est-il de la démocratie, la volonté de la majorité s’impose aux minorités, aux individus.


Là où l’extravagance surgit c’est lorsqu’un comité* « Théodule » composé de bric et de broc, de copains qu’il fallait bien récompenser et d’experts d’hier, probables incompétents de demain, l’extravagant c’est qu’un tel comité d’une prétendue éthique se permette de contredire les représentants élus des citoyens. Au nom de quel droit, au nom de quelle autorité ces personnages peuvent-ils dédire la représentation nationale ?


AN.jpg Mais le plus grotesque reste à venir, c’est d’entendre ceux là même qui s’inquiètent que l’exécutif rogne les pouvoirs du législatif, qui réclament le renforcement des pouvoirs et de l'autorité du parlement, que ces faux culs en appellent à ce groupuscule pour mettre en cause la décision de la représentation nationale dont ils sont membres, lorque cette décision leur disconvient.


A ce jeu là toute la gauche peut être montrée du doigt, impuissante à gagner les élections, incapable de proposer une alternative au projet du gouvernement elle déconsidère le rôle des élus en donnant la primauté à un aréopage de vieilles barbes en quête de médiatisation.


Pauvre gauche tu désespères tes électeurs, tu abandonnes tes prérogatives au profit de ceux qui, aujourd’hui, te caressent dans le sens du poil. Cette gauche ne mérite que l’opprobre : elle disqualifie le parlement. Qu’elle ne s’étonne pas si on lui reproche un déni de démocratie.

 

  * Comité Consultatif National d'Ethique CCNE

 

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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 10:20

Le temps passe et tout se passe comme si il ne se passait rien. Impression transcrite par la baisse de popularité de Sarkozy dans les sondages d’opinion. Ceux-ci n’expriment-ils pas l’intuition fugace que le bouillonnement sarkozien se neutralise dans un mouvement brownien ?


Il parle beaucoup, part dans beaucoup de directions, suscite moult commissions, consultations et au final… l’automne est bien au rendez vous, le verbe sarkozien n’a pas suspendu le temps.


Le tempo du changement c’est là où commence le malentendu. A force d’annoncer la rupture, d’appeler aux réformes, aux transformations le citoyen constate que rien dans le quotidien qu’il observe, n’a changé. Les lois et les mesures déjà passées concernent les cas marginaux, les délinquants, quelques étudiants, des étrangers en attente d’immigration, quant aux cadeaux fiscaux ils ne touchent guère ceux qui fabriquent l’opinion.


sablier.gif Il est loin le temps où l’on donnait du temps au temps. Le temps fonce au rythme des technologies de l’information, du téléphone portable, de l’Internet et de la mondialisation. Sa compression a accru notre exigence dans la vitesse de réaction. Un incident, un retard, un décalage, quelque soit l’activité concernée, et l’information est distribuée dans l’instant. Le portable, la vidéo caméra, le web aura acheminé l’évènement et réduit l’incertitude à l’autre bout de la chaîne.


On a glissé subrepticement du temps à l’instant, à l’impératif d'immédiateté dans la perception d’une réaction. Tel un médicament qui n’ôterait pas le mal dès sa prise et n’aurait ainsi pas d’effets, une politique qui n’apporte pas de solutions immédiates est réputée inefficace, comme ayant échoué.


Le syndrome de l’instantané envahit le monde politique. « Tous ne mouront pas, mais tous seront frappés ».  Attendre pour juger sera une révolution, la plus difficile à faire accepter, car totalement à contre courant. C’est le défi au quel Sarkozy a commencé à s’attaquer : obtenir que les français lui accordent du temps, lui l’éternel pressé.

 

 

 

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28 septembre 2007 5 28 /09 /septembre /2007 18:17

Il aura commis l’erreur de ne pas nous …lire !

 

Un mois déjà que nous l’avertissions qu’il fallait passer du discours à l’action, mais on ne se refait pas. Puisque sa stratégie de conquête du pouvoir a été gagnante inutile d’écouter ceux qui s’étonnent du rythme lent des changements. On peut être brillant dans la conquête du pouvoir et hésitant dans sa possession.

 

Sarkozy a trop cru en sa bonne étoile et voila qu’elle pâlit avec l’automne.

 

Mauvais sondages, baisse du moral des ménages, dissonances gouvernementales et préavis à des grèves nationales. Du classique pour une rentrée, si ce n’est que cette rentrée ci devait coïncider avec les premières réformes sérieuses promises aux électeurs.

 

La réforme des retraites spéciales est pourtant le plus simple des ajustements à réaliser. L’opinion y était soi-disant favorable. Si ce n’est qu’en démocratie une opinion est versatile et que sa manipulation est assurée par ceux qui n’ont rien à perdre à la caresser dans le sens du poil.

 

La RATP qui avait annoncé se tenir en dehors du mouvement vient de basculer dans l’opposition. Pas encore un remake de 95 mais un délitement qui succède au flottement perceptible depuis le début du mois.

 


elysee-1.gifFillon aurait préféré avancer au pas de charge, plus par tactique que par tempérament. Il fut forcé au surplace. Le temps se gâte, l’orage menace et si Thibault précède Chérèque les fantassins sarkoziens seront défaits par les masses populaires entre Bastille et République. Inutile d’être grand clerc. Le reste des promesses sera remisé aux calandres grecques. Juppé 95, ça ne vous rappelle rien ?

 

Le président à New York c’était pour la galerie, et ça n’intéressait personne sauf à ce qu’enfin il se la joue Chirac, fraie avec les Grands de ce monde, et laisse son premier ministre gouverner…en attendant d’être remercié.

 

Mais, le président a réintégré l’Elysée.

 

 

 
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23 septembre 2007 7 23 /09 /septembre /2007 20:14

Reviens, reviens pas ? Le pas de deux continue. Le retraité de la politique, empoisonne l’existence à gauche et détend forcément l’atmosphère chez ses adversaires d’hier, aujourd’hui aux affaires.


jospin.jpg Il fallait le voir jubilatoire (1) à l’évocation du tsunami que son pamphlet a déclenché chez les socialistes. Telle une pucelle à son premier rendez vous le Jospin rosissait de plaisir : son pouvoir de séduction n’était que pouvoir de nuisance : mais quel effet !


Passé cet instant d’autosatisfaction, l’intervention du Jospin sur les sujets d’actualité ne risque pas l’altérer la sérénité du gouvernement. C’est même confondant d’entendre un ex premier ministre justifier – contre toutes raisons -  les régimes spéciaux de retraite, vanter les 35 h et se congratuler pour avoir mis la France en queue de peloton.


La gauche n’en finit pas de clore le bal des hypocrites : quand on croit qu’elle fait enfin du blairisme, elle s’enfonce dans ses contradictions, et se ridiculise par l’archaïsme de ses propositions.

dv.jpg
La majorité ne trouve face à elle qu’un de Villepin (2) dont le venin suinte de tous les pores de la peau, et un Jospin, l'éternel faux-cul, qui n’existe plus qu’en flinguant ses copains. Au regard d'une majorité soudée, ces deux là n’en finissent plus de se disqualifier.

 

 

1                    Jospin sur LCI RTL, : le Grand Jury  

2                    De Villepin sur radio J

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20 septembre 2007 4 20 /09 /septembre /2007 20:41

Fini le temps des génuflexions, Dieu est descendu de son Olympe. Le président s’est fait homme et Fillon est son "remarquable" dauphin. L’intervention n’avait qu’un but : redonner un visage républicain à celui que les média traitaient déjà de monarque élyséen.


sarko.jpg Le couple présidentiel partage la même vision, la même ambition et inutile de chercher la moindre tension dans cet attelage : sous le joug il n’y a pas un président et un premier ministre, juste Nicolas et François amis depuis 5 ans, qui tirent le char de l’Etat !


Quant à l’équipe qui gouverne, elle est à la tâche, l’œil fixé sur les résultats. Rien n’est interdit, surtout pas de critiquer dès l’instant où l' on obtient des résultats. Mais quels résultats ? Ca on le saura pas.


C’est difficile de gommer l’impression de monsieur-je-décide-de-tout que la première partie de l’intervention a encore accentué. « J’ai été élu pour agir, pas pour faire la sieste »  résume pour le français lambda le président. Cet axiome justifie que tout ce qui touche les français est du ressort Elyséen.


Toute la maestria déployée pour faire passer le coté consensuel, travail d’équipe, et partage des responsabilités avec ses ministres - " tous très bons " - venait se briser sur cette vérité sans cesse rappelée : « moi j’ai été élu par les français. »


Alors d’inflexion, il n’y en aura pas. Le chef omniprésent restera hyper actif et ceux à qui ça ne conviendrait pas n’auront qu’à en tirer la conclusion. Fermer le ban !

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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 09:02

Un Jospin béni sur la droite, une madone immolée sur la gauche, au centre son ex porte la croix, vous voyez la cène 

C’est une métaphore bien spirituelle pour les héritiers du petit père Combes que l’évocation de la crucifixion de Jésus a du réveiller en sursaut. Le PS cherche sa voix et celle d’outre tombe du vieux Lionel n’a pas fini de résonner aux oreilles de militants déboussolés.

Malraux l’avait prophétisé, Ségolène la fait : ce siècle sera religieux ou ne sera pas ! On erre en plein mysticisme, en déni de réalités. Le monde Royal est peuplé d’illusions, de faux semblants et de vraies tromperies. Son entourage la béatifie pendant qu’elle abêtit, la sanctifie alors qu’elle s’enlise et la déifie dans la défaite. Jésus n’a-t-il pas prophétisé : « les derniers seront les premiers… » ?

La charge jospinienne n’a rien de très catholique, elle a un relent de vachard revanchard. Sûr qu’il ne l’emportera pas au paradis ! Avec de tels amis la Jeanne du PS peut se dispenser d’adversaires. Elle pourra toujours se consoler si elle échoue, n’est –elle pas la seule à pouvoir reprendre à son compte l’apostrophe du Christ à ses ennemis : « Mon royaume n’est pas de ce monde ». Et ça c’est carrément Royal !



 

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12 septembre 2007 3 12 /09 /septembre /2007 20:48

Le trouble est perceptible, indescriptible parce qu’il ne repose sur aucune donnée tangible. Mais l’atmosphère change imperceptiblement, les béni oui oui ne se sont pourtant pas démobilisés, les hagiographes ne restent pas les plumes croisées et les cireurs de pompe s'activent avec leurs brosses. Mais insidieusement le doute s’installe, l’engouement se dissipe, l’enchantement faiblit, la perspective du changement cède à la réalité des pesanteurs sociologiques.


Il ne s’agit pas de noircir ce que l’opinion dans sa majorité n’a pas encore perçu. Les sondeurs donnent toujours au président un solde très positif d’avis favorables et quand un institut perçoit une baisse un autre note une tendance inverse.


Il s’agit d'alerter sur un pressentiment que ce blog persiste à formuler : le style du président fait obstacle aux projets du candidat. On ne peut pas réformer le pays sans casser des œufs. Le candidat a trouvé les mots pour convaincre les électeurs d'entamer un cycle réformateur, mais le président apparaît frileux, hésitant, réticent à franchir le pas. Un potard scrutant son trébuchet pour mesurer les potions que son patient doit ingurgiter ne prendrait pas plus de précaution.


Sarkozy semble douter qu’il est temps de croiser le fer avec ceux que Mitterrand a convaincu de leur bon droit de croiser les bras. L’opinion qui l’a soutenu ne comprendrait pas que tel un Chirac II il se fasse le chantre de la procrastination. Elle basculerait et n’aurait que mépris pour celui qui l’aurait séduite avant de la cocufier.


C’est le sentiment qu’une duperie n’est pas exclue qui flotte ces jours ci. Un signal fort est nécessaire pour chasser cette odeur de déjà senti, avant que ne s’installe un climat délétère.

Bonaparte s’est engagé sur le pont d’Arcole, Napoléon est né de sa traversée.

 

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10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 13:34

Quand faut y aller, faut y aller ! Le gouvernement jusqu’à présent a entretenu l’illusion du changement. Les amuses bouches servis à ses électeurs peinent à calmer leur fringale de réformes et n'abordent aucuns des maux n fois identifiés et parfaitement répertoriés dans les discours du candidat président. Bien inutiles ces commissions, ces rapports qui s’accumulent et que Sarkozy nous ressert à profusion : du déjà vu avec tous les précédents gouvernants. Ah ! quand nous servira-t-on les plats de résistance ? 


C'est au bon vouloir du président, selon Fillon qui serait prêt sur les régimes spéciaux de retraite à changer de tempo, histoire de mettre la pression sur le chef. Tout ce tintamarre n'est donc qu’artifice de communication, et si c’est le prix à payer pour mettre les ruptures décisives au menu, alors banco !


Reste la nécessité pour le gouvernement d'obtenir un consensus "populaire" minimum pour des mesures que le bon sens rend indiscutable et l'économie incontournable : allongement de la durée de la vie active, allègement des coûts salariaux, fluidification du marché de l’emploi, réduction du poids des administrations, pour ne citer que celles qui ne font pas débat, sans même évoquer la nécessité de remettre en cause les fondamentaux de l’assurance maladie... l'alignement des durées de cotisation retraite n'est en comparaison qu'un hors d'oeuvres bien digeste !


Mais la gente syndicale de la fonction publique arc-boutée sur la défense de prérogatives et de privilèges indécents prend déjà l’opinion à parti. Le PS incapable de faire la synthèse entre une posture d’opposant et l’adhésion aux mesures d’équité prônées par Fillon se complet dans le verbiage incantatoire. In fine la tâche du gouvernement en sera simplifiée s’il accepte temporairement de sacrifier quelques points de popularité pour s'acquitter du mandat qu’il a reçu d’une majorité de français. Son opposition est incapable de propositions, entraînée dans une surenchère gaucho-démago.


Cet alignement des régimes spéciaux de retraite sur la règle commune sera le seul test de la capacité du président à passer des mesures symboliques aux plats de résistances et à proposer aux français du "consistant" à se mettre sous la dent. Car nul ne peut imaginer un recul qui signerait l'échec cuisant de toute ambition réformatrice et la "mort" de Sarko.
 
Alors chef, qu'est ce qu'on attend ?



 

 

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 20:30

Peut être imaginent-ils échapper à la fuite du temps en revivant les affres du retour sous les préaux. Peut-être qu’en mal d’inspiration ont-ils tout simplement calqué leur retrouvailles sur celles des scolaires qui année après année nous ramènent aux mêmes antiennes : la pénurie d’enseignants, la surcharge des programmes et le manque de moyens. Tout ça mérite à n’en pas douter une grève des fonctionnaires, occasion rêvée pour marteler sur les pavés les slogans les plus éculés. On peut faire confiance aux syndicats de l’éducation nationale, ce rendez vous ils ne le manqueront pas.

Mais revenons à nos ouailles politiciennes qui depuis quelques lustres se paient une pilule de rajeunissement en participant à des universités d’été. Comme si ceux qui tout au long de l’année nous saoulaient de leur prescience éprouvaient le besoin de la réalimenter.


La mascarade complaisamment entretenue de ces simulacres de sessions de travail atteint le sommet du ridicule quand il s’agit du PS vu le nombre des saints vers lesquels il hésite à se vouer. Les querelles de courants, de personnes, de chapelles alimentent les affrontements entre factions rivales. Poser la seule question : « que veut dire être socialiste quand le monde est devenu libéral » vous exclut ipso facto pour grossièreté déplacée.


Rendons grâce à Sarkozy pour avoir ringardisé définitivement cette cohorte de singes dont les simagrées forcées évoquent la sincérité et la spontanéité des apparatchiks soviétiques de l’ère Brejnev plastronnant sur les balcons du Kremlin lors des défilés d’octobre.


A la Rochelle, on risque moins de se les geler, que sur feu la place Rouge. C’est déjà un progrès.

 

 

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