C’est plus facile de surfer sur une vague montante que sur le reflux. Bayrou que l’on avait vu tout feu tout flamme exhiber sa suffisance en distribuant les coups à ses adversaires doit faire le gros dos face à des sondages calamiteux.
Difficile d’accuser les médias de l’avoir ignoré. On l’a vu à pied, à cheval, et en tracteur. Il n’y a guère qu’en autobus à colza qu’il s’est montré discret.
Les français auraient-ils capté que ce n’est pas en tapant sur ses adversaires que le béarnais allait vers un rapprochement ? Non seulement il ne fait plus recette, mais il fait même des flops et pour couronner le tout le voila qu’une grève de
La béarnaise qu’il avait cru prendre est entrain de tourner. Et tous les experts en cuisine électorale le savent, quand la sauce a tourné elle est bonne à jeter.