L’état de sécheresse est décrété. Réchauffement de la planète oblige les pluies se raréfient, du moins dans notre pays. D’où les mesures de restriction qui frappent les deux tiers de nos départements. Et qui font que certains s’interrogent sur l’égalité de tous devant la loi.
Imaginons l’un de nos paysans, l’un de ceux qui absorbent 70% de l’eau que nous utilisons. Pour toucher des subventions il s’est mis au maïs qui pompe plus d’eau que toutes autres céréales, eau qui ne lui est pas décomptée au prix où elle serait facturée à un citadin. Lequel maïs nourrit ses vaches dont il revend le lait à un cours à nouveau soutenu par des aides publiques.
Dans le cycle maïs – lait : il n’y a pas moins de trois subventions payées à nos riches paysans (maïs, eau et lait) pour finir en excédents qui seront bradés ou bien détruits pour maintenir les cours à un niveau politiquement correct.
Sans même caricaturer on voit comment certains agriculteurs tirent parti de
On comprend mieux les anglais qui ne risquant pas la sécheresse trouve nos paysans bien coûteux.