Rien ne nous sera épargné. Le pire n’est jamais certain sauf en Chiraquie où la menace d’un président rempilant se fait chaque jour plus prégnante. Bernadette, bien placée s’il en est, ne fait rien pour démentir la présence de son époux au prochain premier tour. Heureusement encore qu’elle s’interdise d’évoquer le second.
Alors, pour qui s’est livré à une petite simulation, la candidature du président sortant aurait pour effet mécanique d’envoyer une socialiste à l’Elysée, en reléguant Sarkozy à la troisième place. C’est cohérent, Bernadette n’avait-elle pas déjà apporté sa caution à Ségolène.
La cause féminine transcende les partis (sans mauvaise plaisanterie). CQFD.