Ils sont donc le fruit du hasard et certainement pas de la nécessité. Pas même nés ils sont rejetés par celles là même qui les a conçus. Ce déni de naissance a été reconnu depuis
Cet acquis de
Faut-il pour autant détruire le lien qui les rattache à leur mère, rendre impossible le retour à leur racines et enfouir leur passé comme si ils étaient le produit d’une génération spontanée.
Ce déni de passé semble une injustice permanente aux seules fins de résoudre un problème temporaire. Tel le suicide qui résout définitivement une difficulté qui n’aurait pu être que passagère, la naissance sous X « tue » la mère.
On comprend la révolte des enfants qui cherchent à retrouver l’arbre après que la branche ait été sciée.