Un parler caïra est-il tolérable au sommet de l’État. ?
Ni pute ni soumise, mais membre d’un gouvernement, elle insulte la majorité des français qui demande qu’on contrôle enfin les flux migratoires, et ceux qui sont favorables à l’usage des tests ADN pour éliminer les tricheurs.
La diatribe vulgaire* d’une marchande de poisson de la Canebière sied mal au perron de l’Élysée. Il en est des convenances comme de l’éducation, ça ne se troque pas dans les cités. Alors si c’est « dégueulasse » de penser comme la moitié des français, Mme Amara vous n’êtes pas à votre place dans ce gouvernement.
Se farcir les keufs, puis les députés est-il le passeport pour être membre du gouvernement de la république ? Il serait embarrassant pour l’homme du « Karcher » qu’éructer contre l’homme blanc devienne le must de l’ouverture. On les dirait tétanisés au sommet de l’État, piégés par une dérive qu’ils sont impuissants à rectifier. Conscients qu’une mise au ban déclencherait la bronca de tous ceux qui n’attendent qu’un faux pas.
Sauf à envoyer un signal fort le dérapage d’une beur névrosée et charismatique entraînera – pour exister- les personnalités d’ouverture dans une surenchère verbale dont la langue française n’a rien à gagner, et la ligne suivie par les politiques tout à craindre.
· * Extrait du parler vrai de Mme Amara (emprunté au blog http://www.politiquecafe.com/ )
Mon boulot sera de convaincre le président de la République et le premier ministre d’utiliser tous les moyens financiers à disposition, au-delà de mon budget de 1,3 milliard. Il faudra aligner le fric (…) Moi, je vais voir les mecs et les nanas qui sont dans les cages d’escaliers et qui ont aussi des choses à dire, même si parfois je ne partage pas leurs propos et leurs manières d’être (…) il faut mobiliser les médias. S’ils ont des choses à dire, c’est le moment pour eux de cracher le morceau. De la même manière, je vais convoquer les intellectuels. Car dans ce milieu tout le monde écrit sur la banlieue et se fait du fric sur le dos des mecs et des nanas de quartiers (…) Dans les cités, on en parle: aujourd’hui, il y a des nanas qui portent le voile – je ne parle pas de celles qui le portent par conviction religieuse – parce que c’est un moyen pour elles de restaurer leur réputation et de se racheter une virginité de façon à pouvoir rentrer dans le marché du mariage (…) Moi, j’ai payé cash ma liberté.”