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25 juillet 2005 1 25 /07 /juillet /2005 23:00

Votre blog va retrouver la régularité de publication à la quelle vous étiez habitué. L’absence d’actualité n’explique pas l’espacement de la parution des billets jusqu’alors quotidiens, mais une difficulté momentanée de connexion.

 

 Je renoue le fil en notant le lancement réussi de Columbia. Réussi en ce sens qu’aucun des milliers de problèmes qui auraient pu affecter ce tir ne sont venu compromettre son succès. Et on souhaite qu’il en soit ainsi jusqu’au retour de la navette.

 

 

 Mais pourquoi redémarrer cette gigantesque opération qui jadis avait lieu au cap Canaveral et qui apparaît à nous autres terriens comme une vaste entreprise de promotion de l’image d’une Amérique pacifique et conquérante épithètes qui, c’est vrai, aujourd’hui ne se marient pas facilement. 

 

 

 

Que Kennedy ait du relever le défi de la défunte URSS, défi d’image, défi militaire, défi idéologique c’est incontestable et le come back de l’Amérique fut total en juillet 1969 lors des premiers pas d’Armstrong sur la lune.

 

 Mais depuis plus de 30 ans qu’est ce que la conquête spatiale et ses vols habités nous ont légué ? A contrario de la médecine avec les développements de la génétique, a contrario de l’informatique et son entrée dans la vie de tous les jours la conquête spatiale apparaît comme un extraordinaire gâchis sans qu’en face des sommes colossales englouties ne correspondent des retombées tangibles pour le commun des mortels.

 

 

 On parle en ignare certes, et les manitous de la NASA ont probablement des raisons à faire valoir. Il n’empêche que pour redorer un blason oh combien terni par sa croisade irakienne George W n’aura pas lésiné sur les moyens : jusqu’à envoyer des américains au Ciel.

 

 

 On imagine sans peine le dépit du président accueillant les cosmonautes à leur descente, quand ils lui auront confessé : « Dieu n’existe plus, on ne l’a pas rencontré » 

 

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23 juillet 2005 6 23 /07 /juillet /2005 23:00

Le chiffre est magique et premier sur le Tour. Il est présent dans toutes les civilisations. Simple on l’attribue à la raison, répété il vous signale qu’au delà de cette limite votre ticket pourrait n’être plus valable. Quand il s’applique à Lance il signe une performance qu’on aurait mauvaise grâce à ne pas  applaudir. Quoiqu’on ait pu écrire on doit bien admettre qu’il n’y a pas de place pour le hasard dans le palmarès du septuple vainqueur de notre grande boucle.

 

 

 

 Étonnant rescapé d’une sinistre maladie plus connue pour laisser au bord de la route que pour aider à grimper, le petit Armstrong quitte la scène sans avoir à nous livrer les secrets de sa réussite. Plus personne ne le testera, ne comptera ses hématocrites et je doute qu’il ne nous donne jamais sa recette, ni qu’il ne la vende d’ailleurs.

 

 

 

 On a le choix. Soit il mérite d’être respecté comme le plus grand de tous les forçats, comme le géant jaune et blanchit de toutes les insinuations qui lui collent à la peau, soit il mérite le respect pour avoir été le plus grand faussaire que le sport ait connu.

 

 

 

 Qu’il soit le géant jaune ou le faussaire dopé il n’est pas prêt d’être dépassé.

 

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22 juillet 2005 5 22 /07 /juillet /2005 23:00

C'était Londres hier, aujourd'hui l'Egypte, demain  Bagdad et bien sur ça sautera aussi en Palestine, Voila pour les bombes,

 

 

C' était Blair qui rencontrait Bush  qui venait de parler à Sharon de ce que lui avait dit Poutine. Voila pour les présidents.

 

 

C'était Sarko qui vitupérait contre Chirac en égratignant les socialos, Voila pour le prétendant.

 

 

Beau sur la majeure partie du pays, Dépression s'approchant du Cotentin. Voila  l'essentiel de la météo.

 

 

Aujourd'hui il ne s'est rien passé qui ne se soit déja passé. Alors à quoi bon vous le raconter  ?

 

 

En fait c'est aujourd'hui dimanche le jour du repos. Il ne pouvait rien se passer et demain lundi l'Histoire recommencera...

 

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21 juillet 2005 4 21 /07 /juillet /2005 23:00

Tous les indicateurs sont au rouge. Les moins alarmistes des chroniqueurs voient au mieux des clignotants orange. Mais la France s’est mis au vert. On est frappé par tant d’insouciance. L’Angleterre compte ses terroristes, l’Allemagne accumule les déficits, quand le reste de l’Europe nous dit clairement qu’on l’insupporte.

 

 

 

 Chirac fait des chèques à Madagascar, et semble avoir oublié ce qu’un journaliste du temps jadis, qui connaissait déjà le poids des mots,  avait stigmatisé dans une formule lapidaire : plutôt la Corrèze que le Zambèze !

 

 

 

 Villepin s’arc boute sur ses contrats nouvelles embauches, Borloo serre la vis aux Assedic et les politiques, toutes couleurs confondues, se mettent debout pour Danone. Qui Lu cru ? C’est la défense patrimoniale du soldat Riboud qui réveille le coq assoupi par ces torpeurs estivales.

 

 

 

 L’indélogeable Armstrong trône sur le tour de France et continue de narguer la pédale du vieux continent avec des méthodes indépistables que seul l’infatué patron du tour se permet de juger licites.

 

 

 

 En ce début d’été telle est la France éternelle, repliée sur son hexagonalité. Incapable de voir dans ses échecs autre chose que le fruit d’une conspiration hétéroclite, elle prête l’oreille aux ronronnements rassurants des serveurs de soupe patentés, se distrait à Avignon, pour ceux qui squattent le Lubéron, ou se vautre à Paris plage, pour ceux qui pointent au chômage.

 

 

 

 Et déjà Chirac remonte dans les sondages, Bernadette fait la une de Paris Match et la France s’enfonce davantage. Pour encore 7 ans ?

 

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20 juillet 2005 3 20 /07 /juillet /2005 23:00

Le sujet pourrait être grivois, léger, voire gaulois, mais sous le vocable de démographie il devient sociologique avant d’être récupéré par le politique. Le français n’est pas seulement coureur il est ce brillant reproducteur que les statistiques nous décrivent. De tous les pays européens nous sommes le seul dont la population s’accroît nonobstant toutes les sombres prédictions. Bon an mal an les naissances l’emportent sur les disparitions par plus de 200.000 âmes et ce malgré la permissivité de notre société.

 

Merci Lucien, merci Simone. Libérant la femme, sans succomber aux chants des sirènes qui diabolisaient une chute de la natalité si on autorisait la pilule et libéralisait l’IVG, ils ont sortis la France du carcan que les émissaires du Vatican et leur prosélytes s’acharnaient à nous imposer. Les Cassandre cette fois encore en furent pour leur frais.

 

 

Et la fille aînée de l’Eglise s’adonna au péché de chair en dépit de tous les interdits papaux pour le plus grand plaisir des procréateurs et espérons le de leur partenaire. Dans le pessimisme ambiant c’est plutôt réconfortant de savoir que le français s’obstine à faire des enfants, ce qui n’est le cas ni de son cousin germain ni de son voisin italien.

 

 

On ne se lancera dans aucune diatribe contre les hypocrites tenants d’une maîtrise de la sexualité, contre les ravages de l’interdiction du préservatif et autres hérésies contre nature, mais on appréciera qu’il y a bientôt 40 ans il y avait dans ce pays des politiques suffisamment lucides, courageux et indépendants pour engager le pays dans des réformes que la morale d’alors n’approuvait pas et qu’il s’est trouvé des présidents pour porter, malgré leur engagement personnel, ces réformes sur les fonts baptismaux.

 

 

 Ce temps est révolu, mais grâce à Dieu, le fruit défendu a fait beaucoup de petits…

 

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19 juillet 2005 2 19 /07 /juillet /2005 23:00

C’est la mobilisation générale. Le réveil de la France éternelle. Tout ceux qui comptent ou qui font mine de compter veulent se retrouver dans cet appel à l’action, à la résistance Comme les soldats de l’an II on doit pouvoir dire d’eux, ils ont tout fait pour s’y opposer !

 

 

 

 Quelle est cette menace qui rassemble droite et gauche, qui transcende les clivages et inquiète l’Elysée ? Il s’agit de notre yaourt qu’un prédateur américain se serait décidé à convoiter. C’est en quelques heures devenue une affaire d’Etat, puisque chez nous l’Etat se mêle de tout et de n’importe quoi.

 

 

 On se souvient qu’après avoir raté son OPA sur Saint Gobain, le flamboyant Riboud opéra une remarquable révolution et plutôt que de vendre du verre s’intéressa à ce que l’on mettait dedans : à l’époque c’était de l’eau et accessoirement des yaourts. Puis il vendit le verre, diversifia le contenu et bâtit le groupe alimentaire bien connu. C’était un pari risqué mais brillamment tenu. Pour couronner le tout il la baptisa Danone et en fit longtemps le fleuron de notre savoir faire.

 

 

 

 C’est une multinationale comme on aimait les fustiger ; elle est présente sur tous les continents. Elle ne s’est pas auto développé mais a procédé à de multiples acquisitions, a acheté ici et revendu là au gré des décisions de ses dirigeants. Sans que personne ne s’offusque des bouleversements qu’inévitablement entraînaient ces changements de propriétaires quand ils avaient lieu en dehors de nos frontières.

 

 

 

 Elle a fait comme Renault qui a fermé Vilvoorde et puis a acquis Nissan ou comme Vivendi qui a racheté Universal avant de s’en débarrasser. C’est la vie des affaires quand le marché est planétaire. On ne peut continuer à faire comme avec l’EDF : interdire aux autres de toucher à notre monopôle et le laisser financer avec ses pertes abyssales (nos impôts) le rachat des électriciens étrangers. Si c’est pas du vol ça y ressemble.

 

 

 

 Danone c’est tout comme l’EDF. Elle doit pouvoir être prédateur au-delà mais reste intouchable chez nous ; Quelle est cette logique ? Au nom de quelle exception va-t-on interdire à l'allemand Siemens de racheter Alsthom, empêcher le suisse Novartis de reprendre Aventis et pousser Renault à reprendre je japonais Nissan ou Pernod Ricard à s'approprier le brtitannique Allied Domecq.

 

 

 

 Nos politiques sont en plein désarroi, en pleine incohérence. Et que dire de ce président fils du précédent qui est allé cherché du réconfort du coté de l’Elysée. On le pensait homme d’affaires, on le découvre petit fonctionnaire.

 

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18 juillet 2005 1 18 /07 /juillet /2005 23:00

C’est plus qu’un symbole, c’est le début de la fin. Pour un colon israélien le retrait de Gaza sonne le glas d’un sionisme en perpétuelle quête d’extensions territoriales. C’est un peu comme l’Univers qui, si il n’est pas en expansion,  ne peut être qu’en contraction.

 

 Depuis son big bang de 1947, Israël qui s’est toujours  battu pour étendre ses implantations, se retrouve au moment critique du retournement. Faute de pouvoir procéder à de nouvelles occupations, avoir accepté le gel des implantations puis maintenant le retrait, c’est, comme l’ont bien compris les responsables des colons, le signe tangible du début du retour aux positions initiales.

 

 

 Cette inversion que les palestiniens attendent depuis plus d’un demi siècle s’accélérera, n’en déplaise aux tenants du grand Israël. Il n‘est pas d’exemple où les colonisateurs n’aient dû rendre leurs terres aux indigènes. Que ce soit en Afrique du sud ou en Rhodésie, après la parenthèse de l’apartheid, la terre revint aux africains. Quant aux immigrants américains ils ne se sont rendus propriétaires de leur sol qu’en exterminant les indiens, ce que n’ont pas fait les israéliens.

 

 

 Après Gaza quitter la Cisjordanie , laisser revenir à  Jérusalem ses habitants, c’est aussi inexorable que la chute de la balle que vous venez de lancer. Après avoir atteint son apogée elle entame sa descente que rien ne saurait empécher.

 

 

 C’est la fin d’une illusion. Le sionisme se nourrissait du principe de la compensation, comme si le monde avait contracté une dette universelle à payer à perpétuité aux descendants des victimes de l’antisémitisme au nom de la Repentance.

 

 

 La terre des autres ne s’approprie pas, tout au plus peut elle s’emprunter, comme l’ont appris à leurs dépens les peuples colonisateurs dont les mérites supposés sont revisités par les générations suivantes. Les israéliens n’échapperont pas au verdict de l’histoire et inexorablement devront restituer les territoires, éternel retour du balancier.

 

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17 juillet 2005 7 17 /07 /juillet /2005 23:00

Le matin du 7 juillet  ça se passait sur les écrans. C’était en noir et blanc. Ils apparaissent tous les quatre, encore anonymes. On ne les verra plus vivants, ni les cinquante autres « mécréants » eux aussi passés à la télé avant que leur sort ne soit définitivement scellés.

 

 A Lutton on a figé le temps, puis à Kings cross, comme dans les autres stations où les terroristes ont été identifiés avant d’exécuter leurs sinistres actions. La télé surveillance a donné un visage à la perversion et est devenu un outil de dissuasion.

 

 

 Ce big brother qui menaçait nos libertés, cet œil à la poursuite de tous les Caïn a gagné, si j’ose l’écrire, ses lettres de noblesse en identifiant les plus pervers des criminels, ceux qui frappent aveuglément pour imposer leur idéologie.

 

 

 Que nous paraissent dérisoires nos soixante-huitardes  réticences à installer des caméras de surveillance au motif que notre liberté n’a pas de prix. L’auteur de ces lignes et de quelques franchissements de lignes jaunes sait aussi bien que quiconque ce que la liberté individuelle peut perdre à être la cible de caméras plus ou moins bien cachés.

 

 

 L’exemple nous vient des britanniques à qui l‘on ne contestera pas l’attachement viscéral aux mêmes libertés. Victimes de leurs houligans avant de l’être de leur politique communautariste ils ont maillé leurs stades et leurs villes de ces caméras. Ils sont en passe de gagner contre les voyous des stades et ont déjà, dans la guerre contre les terroristes,  sur le terrain, l’outil qui peut permettre d’intervenir à temps.

 

 

 Alors cessons notre hypocrite questionnement sur les soi disantes atteintes aux libertés. Imitons les anglais et entrons dans le monde de la télé-réalité.

 

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16 juillet 2005 6 16 /07 /juillet /2005 23:00

Illustration de nos incohérences la querelle récurrente sur le travail du dimanche. J’entends bien que le septième jour Dieu prit du repos et que dans toutes les sociétés, depuis des lustres, il y a des jours chômés. Que chacun puisse des jours convenus être exempté d’obligation salariale est entré dans les mœurs et ne saurait faire l’objet d’un quelconque marchandage. 

 

 Faire du dimanche un îlot de résistance et interdire, comme le demande les syndicats, toute forme de commerce au prétexte qu’il s’agit du septième jour, relève d’un débat sur lequel je ne m’aventurerais pas.   

 

 

 Mais c’est le traitement de cette question qui mérité d’être souligné. Tolérée ici,  autorisée là et formellement interdite ailleurs, l’activité dominicale est soumise à une kyrielle de réglementations dans laquelle je doute que le français soit capable de s’y retrouver.  

 

 

 Or à la base du consensus social qui cimente notre société, les piliers de l’Etat de droit sont l’égalité devant la loi et l’interdiction de son ignorance. Si le premier va de soi puisque la constitution garantit l’égalité des droits, le pré supposé de la connaissance de la loi est une nécessité qui ne correspond plus depuis des lustres à une quelconque réalité.

 

 

 Le travail du dimanche illustre sur un exemple trivial l’impossibilité d’appliquer ces deux préceptes fondateurs de notre vie sociale. Sans même relire La Fontaine nous savons d’expérience que selon que vous serez puissant ou misérable….Malgré les nuits du 4 août que la France a depuis vécu, les jugements de cour restent trop souvent indéchiffrables : mansuétude ici, sévérité là, questionnement dans tous les cas. Quant à la connaissance de la loi c’est une hypothèse qu’aucune personne sensée ne retiendra. A chaque législature de nouveaux textes  viennent s’ajouter et complexifier les codes existants.

 

 

 Comprenne qui pourra tel centre commercial ouvert ici, inaccessible là ! Une autorisation donnée dans une commune sera refusée à sa voisine. Notre intelligence de français moyen est impuissante à déchiffrer les arcanes de la décision  publique.

 

 

 Faut-il légiférer ou laisser à l’initiative individuelle la responsabilité du choix ? Le jacobin qui sommeille en chacun d’entre nous a longtemps fait pencher la balance vers le Tout Etat. Mais quand la complexité des textes en rend la compréhension aléatoire, les passe droit prennent le pas pour pallier les rigueurs de la loi, il est alors temps de remettre tout à plat.

 

 

 Et si ce retour aux sources du droit permet de créer des emplois on aura fait œuvre d’utilité publique.

 

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15 juillet 2005 5 15 /07 /juillet /2005 23:00

Il nous fait du Raffarin quand il encense Villepin. Les mots sont alignés comme pour le défilé, les idées sont illustrées par des exemples cent fois ressassés, alors pour la nouveauté on peut repasser. Ca sent les Dames de France avant liquidation. Pendant que le futur magasin : « chez Sarko », se prépare place Beauvau pour ouverture dans un peu moins de deux ans. 

 

 

 

 Rebondir après une débâcle ne constitue pas une finalité. Puisqu’il rejette toute remise en cause des certitudes qui l’ont conduit à être promu grand chef des bides, il ne lui reste plus qu’à exorciser nos vieux démons pour espérer un signe de retournement.

 

 

 

 C’est de l’incantation ! Ce qui n’interdit pas le talent. On remercie Chirac de nous proposer de « faire autre chose » pour combattre le chômage et de faire peuple en cette période de tour de France avec l’image du changement de braquet ! On a la métaphore que ses électeurs méritent.

 

 

 

 Après 10 ans de présidence et plus encore de gouvernance traiter du chômage comme on soignerait un virus suffit à expliquer qu’on en guérisse pas. A confondre l’effet et la cause on vante le modèle qui nous réussit si bien et on déblatère sur le voisin qui se gausse d’attirer nos chercheurs, nos cadres dirigeants pendant qu’on soigne ses malades et abrite ses retraités.

 

 

 

 Mais puisqu’il insiste que le modèle est bon, il faut continuer à créer des emplois publics (+20%  en 10 ans) financés par un nombre toujours plus faible d’emplois privés, à chercher sans jamais rien trouver (nombre de prix Nobel issu de la régie nationale de la recherche : néant) et ce malgré un budget en constante augmentation et justifier la PAC alors même que les agriculteurs profiteurs se sont tirés une balle dans le pied.

 

 

 

 Il se doit d’être pêchu notre Président pour nous débiter encore ces boniments, tout empêtré qu’il est dans ses multiples contradictions. Espérons qu’aucun Tsunami dévastateur ne vienne  en dernière heure lui restituer son statut élyséen et que drapé dans ses fonctions régaliennes il ne nous la rejoue Homme Providentiel !

 

 

 

 Car quant à nous on s’en passerait bien !

 

publié par Michel

 

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